La plupart des gens aiment les maths. L'ennui, c'est qu'ils ne le savent pas. Dans les temps préhistoriques, les maths sont nées pour être utiles. Les nombres servaient à compter les moutons d'un troupeau, la géométrie à mesurer les champs et tracer des routes. Au fil des siècles, les Homo sapiens furent bien étonnés de découvrir les chemins sinueux de cette science parfois abstraite, d'une richesse à couper le souffle.
Vous découvrirez que les mathématiques sont belles, poétiques, surprenantes, jubilatoires et captivantes. Le nombre Pi est fascinant. La suite de Fibonacci et le nombre d'or nous entraînent sur des pistes inattendues. Les équations nous mettent au défi et l'infiniment petit vient délicieusement gratter notre esprit de ses paradoxes. Si vous n'avez jamais rien compris aux maths, s'il vous est même arrivé de les détester, que diriez-vous de leur donner une seconde chance ? Vous risqueriez d'être surpris...
Savez-vous que certains fleuves coulent de bas en haut? Que la Lune tourne en ligne droite? Qu'en lisant ces quelques lignes vous voyagez à la vitesse de 300000 kilomètres par seconde?
Depuis dix ans, Apolline (18 ans), Pierrot (11 ans) et leur père se rendent chaque année sur la tombe d'Henri Poincaré, le mathématicien, pour honorer la dernière volonté de leur arrière-grand-père, Théodore Folifou. Et depuis 10 ans, rien ne s'y passe.
En consultant le testament, Pierrot y découvre une énigme. Aidés par leur grand-mère, Apolline et Pierrot résolvent l'énigme du testament et se retrouvent sur la trace d'une société scientifique secrète, l'Académie Olympia, fondée par Albert Einstein en 1902 et dont Théodore Folifou était le chef. Pour intégrer l'académie, nos héros devront résoudre de multiples énigmes mathématiques avant de percer le secret d'une seconde académie.
La plupart des gens aiment les maths. L'ennui, c'est qu'ils ne le savent pas.
Dans les temps préhistoriques, les maths sont nées pour être utiles. Les nombres servaient à compter les moutons d'un troupeau, la géométrie à mesurer les champs et tracer des routes. Au fil des siècles, l'Homo sapiens fut bien étonné de découvrir les chemins sinueux de cette science parfois abstraite, d'une richesse à couper le souffle.
Si vous n'avez jamais rien compris aux maths, s'il vous est même arrivé de les détester, que diriez-vous de leur donner une seconde chance? Comme des milliers de lecteurs avant vous, vous risqueriez d'être surpris...
« Mathématique, mon amour » : contradiction dans les termes ? Les auteurs nous prouvent le contraire, avec le talent de rester toujours clairs sans renoncer à la profondeur, et avec un sens aigu de la surprise et de l'humour.
Butinez un à un les articles, de l'abeille géomètre aux mystères du zéro, vous y trouverez les aventures d'explorateurs de la cohérence, des nombres aux propriétés magiques, des raisonnements jubilatoires et de sublimes constructions géométriques. Combien y a-t-il vraiment de feuilles dans un mille-feuille ? De combinaisons dans un Rubik's Cube ? Comment fut résolue la quadrature du cercle et jusqu'à combien peut-on compter sur ses doigts ?
Les mathématiques sont un langage et l'un des plus beaux. Laissez-vous emporter par la poésie de sa syntaxe.
Depuis dix ans, Apolline (18 ans), Pierrot (11 ans) et leur père se rendent chaque année sur la tombe d'Henri Poincaré, le mathématicien, pour honorer la dernière volonté de leur arrière-grand-père, Théodore Folifou. Et depuis 10 ans, rien ne s'y passe. En consultant le testament, Pierrot y découvre une énigme. Aidés par leur grand-mère, Apolline et Pierrot résolvent l'énigme du testament et se retrouvent sur la trace d'une société scientifique secrète, l'Académie Olympia, fondée par Albert Einstein en 1902 et dont Théodore Folifou était le chef. Pour intégrer l'académie, nos héros devront résoudre de multiples énigmes mathématiques avant de percer le secret d'une seconde académie.
Destins à tous vents
La roue tourne... Nouvelle rentrée, nouveaux horizons. Heureusement, il reste tant à explorer ! Les terres de L'Amérique fantôme en premier lieu : celles des trappeurs et autres aventuriers francophones qui façonnèrent, au côté des Amérindiens des XVIe au XIXe siècles, un continent métissé bien éloigné de l'imaginaire manichéen des westerns. Celle des passionnantes Routes de la soie de l'historien Peter Frankopan, à paraître cet automne en « Champs ». Si vous ne l'avez lue déjà, vous ne manquerez pas cette « autre » histoire qui, des premiers temps de la christianisation à la guerre en Irak, en passant par l'expansion de l'islam, redonne aux pays qui bordent le trajet commercial de la soie leur place névralgique dans le destin du monde. Et, place quand même à l'Europe ! Renouant avec les histoires naturelles de Pline à Linné, le paléontologue Tim Flannery nous détaille la genèse de notre Supercontinent, ce carrefour de l'évolution, qui a fait d'un territoire ouvert à tous vents l'asile d'une exceptionnelle diversité du vivant. Le vivant, justement, l'historien Dan Jones et l'artiste Marina Amaral l'insufflent à quelque deux cents clichés d'archives qui, une fois colorisés, constituent une histoire aussi spectaculaire qu'inattendue des années 1850 à 1960. C'est, ici, la guerre de Crimée, là, l'ère de la vapeur, plus loin, la conquête spatiale. De l'âge des empires à celle des superpuissances, se déploie une scène où dansent titans et tyrans, meurtriers et martyrs, inventeurs et destructeurs.
Pareillement, les images sont au coeur de Parking Péguy, cet objet littéraire non identifié. Ils se sont mis à deux, la plume (l'essayiste Charles Coustille) et l'oeil (le photographe Léo Lepage), pour nous faire rencontrer, grâce aux traces qu'il a laissées sur le territoire de France, un des plus grands écrivains de son temps. Charles Péguy, fauché dans les premiers jours de 14-18, a légué son nom à 427 rues, avenues, écoles. Et si ces lieux nous permettaient d'écouter enfin ce que ce prophète avait à nous dire ?
Lisons encore, lisons toujours ! Il se pourrait même que cela nous rende heureux...
SOPHIE BERLIN
Directrice des sciences humaines