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Bernadette de Castelbajac
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Histoires d'empoisonneuses d'hier et d'aujourd'hui
Bernadette de Castelbajac
- Michel De Maule
- Histoire Document
- 14 Juin 2010
- 9782876232532
Le poison est-il vraiment passé de mode ? Pas si simpleâÂÂÂÂ! Les faits regorgent encore d'assassinats subtils où des substances nouvelles sont en jeu. Depuis toujours, la jalousie, l'appât du gain, la vengeance ou l'ambition ont provoqué le meurtre. Les interrogations fusent à l'autopsie, et la police (aujourd'hui scientifique) recourt à toute une panoplie d'outils et d'analyses. Dès lors la question se pose : comment prouver l'empoisonnementâÂÂÂÂ? Le poison au cours des siècles est devenu de plus en plus indécelable. Il se dissimule dans les plats, dans le vin, mais imprègne aussi bien des gants qu'une lettre, se vaporise sur des fleurs ou des fruits.
Quant à la palette des poisons, elle est vasteâÂÂÂÂ: l'arsenic, déjà utilisé par les Grecs ; la litharge ou « pierre d'argent »âÂÂÂÂ; l'eau-forteâÂÂÂÂ; les sublimés ou sel de mercureâÂÂÂÂ; mais également le venin de vipère, le sang de crapaud ou le verre pilé. et aujourd'hui de discrètes formes chimiques ou bactériologiques.
Bernadette de Castelbajac examine en autant de petits récits les cas d'empoisonnement les plus célèbres (ou moins connus) de l'Antiquité à nos jours, avec toujours cette même évidenceâÂÂÂÂ: un bon poison vaut mieux qu'un long discours.
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Ma petite Roquette ; détenue politique, juillet 1963-mars 1964
Bernadette de Castelbajac
- Lbm
- 18 Avril 2011
- 9782915347838
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La vie agitée des dames d'honneur des reines de France
Bernadette de Castelbajac
- Via Romana
- 12 Mars 2015
- 9791090029996
Elles sont jeunes et jolies, cultivées, élégantes et appartiennent à l'aristocratie : ce sont les demoiselles et les dames d'honneur de la reine de France. Leur présence est indispensable à la cour. Elles apportent de la gaieté mais aussi du prestige à la reine. Elles l'entourent, la distraient et, à l'occasion, conspirent avec elle. Leur rôle est aussi de séduire. « Une cour sans dames, c'est un jardin sans fleurs » affirmait François Ier.
Certaines d'entre elles ont mené une vie «vertueuse», bien que ce mot prête à rire. Bonnes épouses et bonnes mères, soucieuses de remplir leurs devoirs auprès d'une souveraine. elles ne sont plus qu'un nom dans les archives. On les a oubliées. Mais on se souvient de celles qui n'ont pu résister aux mirages de la richesse, de l'ambition, du besoin de jouer un rôle important, de l'amour. Certaines l'ont payé bien cher.
Bernadette de Castelbajac nous fait revivre ici la destinée des plus illustres d'entre elles : d'Odette de Champdivers, douce et discrète, consolatrice du coléreux roi Charles VI, morte dans la pauvreté, jusqu'à l'empoisonneuse Mme de Montespan rachetant ses crimes derrière les murs d'un couvent, c'est un défilé prestigieux de jeunes et jolies dames qui laissèrent une trace non négligeable dans l'histoire de notre pays.
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Les mots les plus méchants de l'histoire
Bernadette de Castelbajac
- Points
- Le Gout Des Mots
- 14 Février 2013
- 9782757831878
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Mme de Villemenue, maigre et vieille coquette, s'imaginant que Voltaire plongeait le nez dans son décolleté, minauda : "Oh ! Monsieur de Voltaire, songeriez-vous à mirer ces petits coquins là ?" "Petits coquins ? Petits coquins ? rétorqua-y-il, mais ce sont plutôt de grands pendards !" Le duc d'Orléans, père de Philippe Egalité, était énorme. Revenant d'une chasse, il confia : "J'ai pensé tomber dans un fossé." "Il eût été comblé", commenta un courtisan caustique.
A Fontenoy, un capitaine aux gardes françaises courait après sa main, emportée par la mitraille, en hurlant : "Ma bague ! ma bague !" En 1562, le maréchal de Thermes, 80 ans, n'était plus tyrannisé par le désir, et pensait que tout avait changé en même temps que lui. Aussi, surprenant dans une conversation le mot "accouchement", il s'étonna : "Tiens donc, on fait encore l'amour !" En 1958, alors qu'un ministre supposait devant de Gaulle qu'il avait dû lui être bien pénible d'avoir été si longtemps écarté du pouvoir, le général murmura : "Il ne faut rien exagérer, ma traversée du désert, ce n'était tout de même pas la fuite en Egypte !"