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Françoise Clédat
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Des poèmes s'inspirant des grands explorateurs et des récits de Jack London pour retranscrire les vertiges du voyage, du froid, de la solitude et des paysages lointains. Précédé d'un texte évoquant les méandres des rivières et leur symbolique.
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Ils s'avancerent vers les villes - francoise cledat
Françoise Clédat
- Tarabuste
- 31 Août 2017
- 9782845873759
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"Mi(ni)stère pour mistère. Ce que permet l'écriture. Sa graphie. Introduire au coeur du mot le signe d'incomplétude - syllabe ou trait qui le nie. Ce penchant d'écrire pour la fatiste. Fatiste : du latin facere = faire (celle qui fait). Sens premier : auteur.e de mistère (il n'existe aucune trace de femme fatiste au Moyen-Âge)."
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Fantasque fatrasie (une suggestion de defaite) - francoise cledat
Françoise Clédat
- Tarabuste
- 1 Mars 2013
- 9782845872578
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Apparition d'une pandémie mortelle que double la découverte simultanée d'un cancer à un stade avancé. Confinement et finitude. Une quête poétique autant qu'existentielle menée à la frontière des arts et des sciences. Spécificité, conjugaison, interpénétration, pourvoyeuses du lexique d'apparentement des modes d'être, des ordres, des échelles. Du sensible à l'inerte, de l'animal au végétal au minéral, du microcosme au macrocosme, de la biologie cellulaire et sub-atomique à la cosmologie, de la physique quantique à la poésie, de je encore je à tout ce qui n'est plus je. À la fin des fins, coeur battant, la quête est cette tentative de constituer un viatique afin d'envisager yeux grands ouverts l'énigme non résolue de ce moment où il ne battra plus.
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Le flux, est celui de la vie en nous ; son reflux, inexorable, est éprouvé, appréhendé à travers l'expérience concrète de la mortalité : vieillesse et cancer. Expérience corporelle, tout à la fois destructrice et créatrice, qui révèle et met en évidence cette "inséparabilité d'écrire et aimer, d'écrire et jouir, de jouir et mourir, où (s'exalte) l'effusion lyrique, (s'assume) le reflux de sa ferveur impudique", que par leurs ressource jointes l'écriture, l'art et la pensée qui les caractérise, tentent de porter à sa plénitude vécue, jusqu'à l'envisagement du terme qui viendra l'interrompre. / Chant, poème de louange à l'écriture et aux forces d'amour et de création qu'elle convoque, tel voudrait pouvoir être à ce terme le lyrisme du reflux.
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Un père va mourir. Un père n'a pas parlé. Une enfant a recueilli la parole non-dite du père et tente, comme voix, de la restituer.
Elle dispose pour cela d'un jeu de photographies et de quelques souvenirs d'enfance. Mais aussi des ressources passionnément convoquées du rêve, de l'art, de l'Histoire (guerre de 1914-1918), par quoi une mémoire dépasse ses limites individuelles.
L'idée de la mort du père, la guerre, les liens de transmission ascendants et descendants et le propre vieillissement de l'enfant constituent le matériau de voix multiples librement entrelacées. Car l'écriture ici se joue de la chronologie et l'ultime tentative sera de suspendre, le temps d'un livre, l'instant fragile qui nous sépare, père ou enfant, de notre propre mort.
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La chambre de mon fils - francoise cledat
Françoise Clédat
- Tarabuste
- 15 Septembre 2004
- 9782845870741