Il y a urgence.
Faire face à la désinformation et aux attaques constantes dont le peuple juif est la cible est aujourd'hui indispensable à la défense de la démocratie dans laquelle nous vivons.
Afin de lutter contre la haine et la discrimination, il suffit de connaître quelques bonnes vérités que nous vous offrons ici. Des vérités destinées à édifier ceux qui aimeraient savoir et comprendre. Et aussi mieux répondre.
En sus de ces données qui vous aideront à combattre le mensonge et les préjugés, il existe une panoplie de moyens d'action faciles à mener par tout un chacun, d'initiatives citoyennes permises par la loi, de structures juridiques, d'associations et institutions officielles à votre entière disposition. Vous en découvrirez ici les principaux ainsi que des conseils quant à la façon d'en faire bon usage.
Mieux savoir, mieux comprendre, pour mieux défendre la justice et la vérité. Tel est le principe de cette brochure.
Raphaël Jerusalmy
En France, un jeune sur deux a déjà consommé du Cannabis (54 % lycéens en terminale, étude ESPAD 2015). Les encadrants et notamment les parents manquent de connaissance sur ce problème et sont démunis, ce livre est fait pour eux.
Dans le cadre de la prise en charge éducative des mineurs sous protection judiciaire, la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) a souhaité réaliser aujourd'hui un recueil des connaissances de base indispensables pour un éducateur intervenant auprès des mineurs soumis au risque de la toxicomanie.
Cet ouvrage comporte un dictionnaire et un ensemble d'articles qui traitent de tous les sujets aussi bien l'économie et le fonctionnement du trafic, la consommation, les problèmes de dépendance, d'addiction et de sevrage, l'encadrement des jeunes, le point de vue médical, législation et la réponse judiciaire aux infractions, les retours d'expériences des éducateurs etc.
Un meurtrier s'introduit par le balcon chez une dame qu'il connaît, parce qu'elle est juive s'acharne sur elle avec une violence inouïe, la torture, la défigure, la frappe sauvagement à mort en récitant des sourates du Coran, et la défenestre. Circulez, il n'y a rien à voir ! Les instances, dans une posture répétitive, font d'un attentat islamiste un simple fait divers. La Justice s'empresse de psychiatriser l'assassin, qui, hospitalisé depuis, et sans traitement, devrait sortir en pleine liberté prochainement. Des intellectuels, chercheurs, universitaires, auteurs, praticiens de re´fe´rence, issus de champs de réflexion différents, ambitionnent ici, construisant une clinique du contemporain, de décrypter les signes, les symptômes, et les problématiques qui affleurent sous l'expression de la défaillance des instances censées être garantes du Symbolique et de la démocratie, et partant de la responsabilité du Sujet. Il s'agit ici de faire de cette tragédie un événement historique et de se demander, soixante-quinze ans après la destruction des Juifs d'Europe, mis « hors-monde », d'un Halimi à l'autre, d'Ilan à Sarah, et des enfants abattus à bout portant à l'entrée de leur école, à quel moment de l'évolution de notre culture, et de notre psyché collective, en France, nous en sommes.
Claude Georges Picard apporte ici le témoignage d'un soldat « appelé », chasseur alpin, envoyé, en 1961, lors des «événements d'Algérie» sur un piton de Kabylie, dans un poste militaire isolé au coeur de la zone rebelle, à 1200 m d'altitude dans la neige hivernale et sous le soleil accablant de l'été, remplissant à la fois son devoir de soldat et celui d'instituteur-infirmier-écrivain public improvisé dans un village kabyle entièrement acquis à la rebellion.
« Encore un accrochage dans le village avec les fells. Leur pouvoir d'évanouissement est magique. Ne dit-on pas disparaître par enchantement. A la première rafale ils se fondent dans la nuit, se volatilisent et nous restons comme des cons, seuls et désemparés sur le terrain. Ils doivent bien rire, planqués dans la forêt, enterrés dans leurs caches invisibles... Les lendemains d'accrochage, toujours beaucoup d'appréhension en descendant dans le village. Entre le soldat de nuit, qui n'hésiterait pas à tirer et le gentil soldat qui soigne, apprend à lire et compter, je m'y perds. Lequel est le vrai ? » Un témoignage unique, sans la moindre concession sur les faits et une interrogation profonde sur le drame de conscience qui fut celui de la jeunesse de l'époque.
Témoignage qui a fait l'objet en avril 1984 , de cinq émissions à France-inter : « Le Passé singulier », de Michel Winock et en 1992 d'une lecture de certains passage par Richard Berry sur France 2 dans « Envoyé Spécial ».
« Ce manuscrit édité par les EDITIONS DU NET est unique en son genre. J'ai déja publié trois de ses prédécésseurs au CNRS. À ma connaissance il est un des rares à dire ce qu'il tente de faire pour saisir sa hiérarchie contre l'abus des tortures et autres exactions. ».
Jean-Charles Jauffret
Cet ouvrage offre un panorama des questions économiques, sociales et environnementales au niveau territorial. En utilisant les zonages d'études actualisés en 2020, l'ouvrage fait le point sur les disparités géographiques en France, sur les forces et faiblesses des divers territoires ainsi que sur les conditions de vie de la population.
Ce livre retrace la vie de Mayer Amschel né à Francfort le 23 février 1744 ou comment le fils d'un petit colporteur juif né dans le ghetto -Judengrasse- dont les portes étaient fermées le soir est devenu le Baron de Rothschild, fondateur de la première Banque d'Europe ?
En 2005, Mayer Amschel Rothschild fut classé 7e dans la « Liste des hommes d'affaires les plus influents de l'histoire » par le magazine américain Forbes.
Le paradoxe de cet homme est qu'il a fait fortune grâce à son honnêteté.
Si nous ne parvenons pas à changer l'enchaînement des événements, la France s'enfoncera dans le chaos de la détestation du monde comme d'elle-même.
Jamais je ne m'y résignerai : il nous faut résister. Résister, c'est espérer.
Je prends la mesure du défi qui nous attend et m'attend. J'en connais d'avance la charge et les périls. Mais j'y suis prête.
Cet engagement, je le dois à cette France périphérique d'où je viens. Celle des jeunes exclus. Celle des femmes encore discriminées. Celle des entrepreneurs - agriculteurs, artisans, créateurs de start-up. Celle des territoires malmenés, des quartiers populaires aux espaces ruraux en passant par les outre-mer.
À l'instant de basculer, c'est le moment de renouer avec le génie français à travers les principes qui l'ont fondé.
Il ne s'agit plus d'être frondeur : il s'agit d'être fondateur.
Face aux multiples crises qui bouleversent notre pays comme le chômage, l'insécurité, la dette, la pauvreté ou les injustices, deux jeunes citoyens ont décidé de proposer des solutions concrètes en vue des échéances électorales de 2017. Durant plus d'un an, les frères Taupin ont mené une expérience démocratique unique pour réveiller la France et réconcilier les citoyens avec la politique. Près d'un millier de Français ont librement partagé leurs idées et ont pu construire un projet collaboratif et novateur axé autour de 12 innovations majeures. Pour la première fois, le peuple prend la parole et publie son propre programme politique.
Philippe Andlauer est soldat d'une unité d'élite en 1961, engagé dans un conflit parce qu'il ne se voyait pas ne pas y aller entre son pays la France, le Maroc de son enfance, l'Algérie de ses frères, et la culture militaire et coloniale de sa famille. Homme d'éthique et de culture, il observe, regarde, participe, anticipe, analyse, puis un jour, devant l'indicible, refuse d'entrer dans un processus d'escalade face à un horizon dramatique dont il a la plus grande conscience. Il en payera le prix fort dans les réponses militaires, sociétales, et familiales qui lui seront opposées. Il nous livre aujourd'hui ses vécus les plus saillants, et en tire des attitudes de pensées rarement exprimées entre stigmates, consciences, et étonnements.
Francesca Mauduit enseigne la guerre d'Algérie au lycée des Iscles à Manosque. Très vite, elle participe à la perception et à la diffusion des connaissances propres à cette période en accompagnant notamment la Maison d'Histoire et de Mémoire d'Ongles qui accueille régulièrement des élèves face à des témoignages directs des effets de la guerre d'Algérie. Visites, expositions, et journées d'étude complètent concrètement ce dispositif. Toutes ces actions, soutenues par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre et par les collectivités locales, élargissent le champ des connaissances à la lumière des avancées et des recherches entreprises en faveur de découvertes libérées des approximations ou des occultations habituelles.
Jean Charles Jauffret est spécialiste de la guerre d'Algérie, professeur émérite en histoire contemporaine, ancien directeur du département d'histoire et du Master d'histoire militaire comparée géostratégie, défense et sécurité de Sciences Po Aix.
LE politique, c'est ce qui permet aux hommes et aux femmes d'être ensemble, par conséquent de composer une société.
LA politique désigne les fonctions autour du pouvoir et de sa représentation. Comment passer du triplet Peur, Prévention, Preuve au triplet Pulsion, Plaisir, Puissance ?
Tout cela en évitant la corruption et l'hypocrisie, tel est le thème développé dans cet essai à travers des exemples précis et des références à des auteurs politiques.
En Côte d'Ivoire comme dans les Cévennes, dans la région parisienne comme en Haute Volta, aujourd'hui comme hier, la maladie possède une dimension sociale essentielle à sa définition et à son interprétation. Dans Le sens du mal, ethnologues et sociologues relativisent le relativisme culturel. Les ethnologues décèlent dans la logique des symbolismes mis en oeuvre pour décrire et maîtriser la maladie et le malheur une volonté de sens et de cohérence qui a son équivalent dans les sociétés industrielles. En sens inverse et en écho, les sociologues des sociétés industrielles montrent comment la maladie, fonctionnant comme « signifiant social », exige une interprétation qui n'est jamais purement technique ni purement individuelle. Ainsi se dévoile une unité d'objet qui devrait provoquer la réflexion des spécialistes de sciences humaines, mais aussi celle des spécialistes de la santé qui s'interrogent sur le sens de leur pratique comme parfois leurs patients sur le sens de leurs maux.
Livre d'art de 358 p., richement illustré en couleur, offrant un aperçu inédit et exceptionnel sur le patrimoine culturel irakien et publié en arabe, en français et en anglais.
A l'occasion du VIIIe centenaire de la fondation de l'Ordre des Prêcheurs et de l'exposition "Grandes Heures des manuscrits irakiens" aux Archives nationales (mai-juillet 2015), la Province dominicaine de France et l'AHODE (Association pour l'Histoire de l'Ordre de saint Dominique en Europe), avec le concours des Archives nationales et de la Bibliothèque apostolique vaticane, publie un superbe livre d'art consacré au patrimoine des Chrétiens d'Orient, et plus particulièrement à la sauvegarde des 800 manuscrits précieux irakiens inédits collectés par les dominicains de Mossoul, aujourd'hui réfugiés à à Erbil dans la région autonome du Kurdistan.
Cet ouvrage évoque la profondeur des racines chrétiennes de l'Église de Mésopotamie remontant à la fin du Ier siècle, ainsi que l'ancienneté de la présence dominicaine au Moyen et en Extrême-Orient, à l'initiative de Saint Louis.
Le livre réunit les contributions scientifiques des meilleurs spécialistes et est enrichi de 120 grandes illustrations couleur.
La mise en exergue de ce patrimoine aujourd'hui gravement menacé contribuera à renforcer une prise de conscience en faveur d'une population christianisée depuis deux millénaires pour lui reconnaître une citoyenneté de plein droit.
L'Association de l'Histoire de l'Ordre de St Dominique en Europe (A.H.O.D.E.) percevra l'intégralité des recettes des ventes du livre pour financer le Père Nageeb et la numérisation des manuscrits irakiens.
Liste des auteurs : Michel Albaric, o.p., Narmen Muhamad Amen Ali, Joseph Alichoran, Béatrice André-Salvini, Serge Aroles, Didier Ballot, Françoise Banat-Berger, Françoise Briquel-Chatonnet, Ghislain Brunel, T. R. P. Bruno Cadoré, o.p., Jacques Charles-Gaffiot, François d'Harcourt †, Jimmy Daccache, Claudine Delacroix-Besnier, Charlotte Denoël, Alain Desreumaux, Justine Gaborit, Juliet Garnier, Mgr Pascal Gollnisch, Marie-Geneviève Guesdon, Michaël Guichard, Amir Harrak, Bruno Horaist, Florence Jullien, Fr. Laurent Lemoine, o.p., Christophe Marquez, R. P. Najeeb Michaeel, o.p., Pierre Moracchini, Isabelle Nathan, Fr. Jean Jacques Pérennès, o.p., Bruno Poizat, Émile Puech, S. ém le cardinal Leonardo Sandri, Emmanuel Pataq Siman, o.p., R. P. Dom Columba Stewart, o.s.b., Delio Vania Proverbio, Émilie Villey, Raphaëlle Ziadé.
L'éducation thérapeutique proposée aux personnes malades chroniques est analysée ici comme un espace transitionnel qui s'inscrit à la croisée de plusieurs mondes de vie : les soignants et les patients, le contexte de la situation d'apprentissage et le contexte « ordinaire ». C'est dans cet espace intermédiaire que se confirme le cheminement scientifique novateur présenté dans cet ouvrage, sur une amplitude de deux décennies de travaux menés en France, dans l'océan Indien et plusieurs pays d'Afrique. En prenant appui sur des travaux contextualisés qui interrogent des lieux différents, les analyses montrent comment dans un domaine particulier et dans des contextes spécifiques, le potentiel heuristique et la visée transformative des sciences de l'éducation contribuent utilement à la connaissance et à l'action. Les apports de la sociologie, des didactiques, de l'anthropologie de la santé et de la communication s'articulent de façon constructive pour éclairer les situations d'apprentissage, le processus éducatif, ainsi que les enjeux actuels en matière de développement de la littératie en santé.
À vouloir faire du structuralisme un courant homogène organisant les sciences humaines et sociales des années 1960, on a perdu de vue les spécificités d'une approche plurielle, composite et de longue durée des phénomènes humains. Ce livre entend restituer toute la singularité des structuralismes, en suivre les résonances, les renvois et les mouvements. Du structuralisme génétique de Piaget aux efforts historiens pour penser les structures dans l'histoire, en passant par le structuralisme linguistique et l'affrontement avec le marxisme en anthropologie, c'est tout un archipel d'entreprises scientifiques éclatées qu'il devenait nécessaire de cartographier. Un ouvrage collectif qui s'interroge tout à la fois sur les sources, les manifestations, les objets ainsi que sur la grande notoriété publique de ce courant pour mieux mettre au jour la singularité des pratiques de recherche en sciences humaines et sociales.
Avec les contributions de C. Basualdo, J.-F. Bert, Ph. Borgeaud, F. Chaubet, L. Dumont, B. D. Geoghegan, J. Lamy, P. Lefort, J. Léon, J. Pommier, M. J. Ratcliff, R. Rousseleau et G. Sapiro.
La nourriture et son partage sont au coeur de nombreux rituels des religions afro-brésiliennes, y compris de l'umbanda. On les retrouve sous la forme d'offrandes aux divinités et entités spirituelles pendant les fêtes, les cérémonies, ou les séances de guérison dans les lieux de culte. Partages et offrandes renforcent les liens entre les humains et les esprits, mais aussi les liens entre umbandistes, membres d'une même famille symbolique. Présentes en dehors du Brésil dans le cadre d'un processus de transnationalisation, ces pratiques rituelles, alimentaires et culinaires de l'umbanda connaissent aujourd'hui de nouvelles modalités et significations. En s'appuyant sur un travail de terrain mené dans des maisons de culte au Brésil et au Portugal, il s'agit ici de mettre au jour les différentes acceptions de la notion de nourriture dans cet univers religieux, ainsi que les formes de partage qui en découlent. Une lecture renouvelée est ainsi apportée aux permanences et adaptations des pratiques religieuses afro-brésiliennes actuelles.
Les hommes ont réalisé que dans la vie moderne, on peut se passer de la foi, car croire ou ne pas croire n'accroît pas la perception de la réalité. Il n'en demeure pas moins que dans le contexte contemporain où la religion s'est manifestée sous différentes formes, la philosophie s'est attachée avec un intérêt nouveau à la question du rapport entre raison et religion, montrant que l'homme n'est pas toujours prêt à renoncer à la réalité religieuse. Aussi une réflexion philosophique sur la religion s'impose-t-elle. On sait qu'avec Kant, la philosophie a cherché à démontrer qu'il existe une limite à l'activité de la raison, sans pour autant que tout sens de la religion soit écarté. Mais nous ne nous attacherons pas d'abord au statut de la religion chez Kant. Elle s'attachera à la reprise et transformation qu'en opère un philosophe contemporain, Jean-Marc Ferry .
Nul ne peut prétendre définir le paysage comme un objet qui serait soit entièrement culturel, soit entièrement naturel ; il supporte maints cadres théoriques (philosophique, esthétique, historique, anthropologique, sociologique, etc.) tout en ayant constitué un réservoir d'agir politique et d'expression artistique; le caractère flou du concept autorise tous les conforts interprétatifs, mais aussi tous les abus gestionnaires. C'est pourquoi il constitue un terrain particulièrement intéressant pour confronter des points de vue, des pratiques et des épistémologies.
L'idée est donc de contourner les approches parfois exclusivement sémiotiques (ce que nous dit le paysage, ce que signifie le paysage, etc.), ou parfois uniquement sociologiques (le paysage comme construit social) pour interroger ce qui dans le paysage dérange nos prétentions à la modélisation ou au surplomb: par exemple comment maintenir dans nos objets et actions la sensibilité, les troubles ou les énigmes liés aux difficultés de penser à la fois la nature et les institutions, les représentations et les actions, les engagements et les déplacements des individus, les approches scientifiques et les intérêts des praticiens?
Avec les contributions de : Igor Babou, Lionel Charles, Philippe Hilaire, Bernard Kalaora, Joëlle Le Marec, Carpanin Marimoutou, Yogan Muller, Jacky Vieux.