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Charles Editions
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Après « Le Gouvernement des écrivains », Charles propose un second numéro avec un grand dossier consacré à la « Violence en politique » sous toutes ses formes : souvenirs de guerre de députés, enquêtes sur les gardes du corps, bastons de militants, flash-ball, insultes, dérapages physiques... En couverture, « L'Assassinat de Marat » par Paul Baudry (1860).
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"J'en suis venu à la conclusion que la politique est une affaire trop sérieuse pour être laissée aux politiciens" disait Charles de Gaulle en pastichant Georges Clémenceau.
C'est pourquoi nous avons confié le pouvoir à des écrivains. Loufoques, réalistes, rêveurs, poétiques, insoucieux de la dette (quoique), tous ont mis la main au portefeuille, et patiné gaiement sur "les eaux gelées du calcul égoïste" pour reprendre la belle formule de Marx. Ils ont inventé de nouvelles voies, de nouvelles vies dont bien des politiques en panne d'espoir pourraient, ou feraient bien de s'inspirer.
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On raconte que c'est Carla Bruni qui a fait découvrir The Clash à son époux. Avant elle, Nicolas Sarkozy semblait bien n'écouter que de la variété. Pourtant, l'ancien président de la République fait partie d'une génération qui a grandi avec le rock, la musique la plus politique qui soit, porteuse de rébellions, de contestations, de revendications. Certes, Jean-Paul Huchon est abonné à Rock & Folk et le député Patrick Roy, décédé en 2011, brandissait Rock hard magazine dans l'Hémicycle. Mais quel rôle joue le rock dans l'imaginaire politique français ? Comment la politique a-t-elle utilisé cette musique qui naît en même temps que la Vème République ? Inversement, comment le rock a-t-il mondialement bousculé la classe politique, du mouvement hippie jusqu'au punk, du rap jusqu'au sample ? Rock & politique, une histoire forcément binaire.