À 17 ans, Seïs Amorgen est nominé pour intégrer la plus grande confrérie du royaume d'Asclépion. S'il accepte, il deviendra l'un des guerriers les plus éminents de la monarchie. S'il refuse, il restera le gamin frivole et arrogant qui fraye avec les bandits de sa ville natale. Sous la tutelle de son mentor et entouré de soldats aussi fantasques que doués, Seïs apprendra à devenir un guerrier, et plus encore : un homme. Alors que le renégat, ancien membre de la confrérie, accroît son influence au-delà de la frontière, risquant de changer à jamais le pays auquel il tient, Seïs va devoir prendre la décision qui bouleversera sa vie. Bientôt, il devra faire face à ses démons sous les traits de sa jolie cousine, Naïs, et du monstre légendaire : le Porteur de mort.
Pour devenir grand, il faut cesser d'être petit. Mais petit, ce gamin veut le rester, pour aller loin, longtemps. Et se promener, dans la main d'un grand, au milieu de la nature, des choses et des gens.
Ce livre nous emmène dans ce voyage à la fois surréaliste et léger au cours duquel ne manquent pas les questions que nous nous posons tous quand vient l'envie ou le besoin, de comprendre et de grandir.
Cet ouvrage, de genre humoristique, est composé de différents textes fantaisistes avec un festival de jeux de mots sur fond de dérision et d'absurdité.
Le premier chapitre, intitulé « Dicodébil » - c'est tout dire - n'a vraiment rien d'académique.
Le deuxième, « Cogitations profondes », est tout aussi délirant.
Quant au troisième, intitulé « Les Grands Ecrivains », il est pour le moins iconoclaste.
Le dernier, « Des vers en dévers », est composé de divers poèmes originaux souvent burlesques ou déjantés.
Un grand merci à ma petite-fille.
Solène qui a joliment dessiné.
L'image de couverture.
Maurice Chapuis.
Neuf contes écrits par sept auteurs. Contes ou Nouvelles étranges, surprenants, troublants mais qui vont vous faire voyager vers des terres d'ici ou d'ailleurs...
Une enquête policière menée par les commissaires Chapot et Aubin est déclenchée suite à un meurtre commis sur la servante des Bourbon de Chazeilles, une grande famille de Békés (Blancs créoles) de Guadeloupe. Le crime serait-il lié au bébé qu'a eu Nelly Bourbon de Chazeilles à l'insu de son mari ? Surviennent alors d'étranges événements. Des attentats à la bougie explosive sont perpétrés sur des personnalités connues de l'île et des morceaux de peau sont prélevés sur des morts. S'agirait-il de sorcellerie à grande échelle ?
Le vécu obsessionnel et morbide du passé peut rendre fou. Cette vérité sera révélée grâce à un poil de mangouste !
Cette histoire nous montre une Guadeloupe dans la peur et offre une fresque humaine épicée avec une description colorée de personnages authentiquement créoles.
31 octobre. Comme chaque année, Capucine Millêtre, jeune trentenaire bordelaise, retourne sur les terres de son enfance, au coeur du Sud-Gironde, afin de rendre visite à sa grand-mère. Mais un événement imprévu bouleverse leurs retrouvailles habituelles...
Félicien Ducats, leur voisin, vient de mourir. Dans une atmosphère villageoise étrange et étouffante où le malaise prédomine, son enterrement marque le départ d'un sombre engrenage. Lorsque, quelques jours plus tard, sa grand-mère est victime d'un accident de la route douteux, Capucine cherche à découvrir la vérité en démêlant les fils noués du passé de sa famille. Entre faux-semblants, non-dits et mensonges, elle découvrira peu à peu les secrets de ses racines...
Emmy, dix ans, serait bien plus heureuse si elle n'avait pas à apprendre ses leçons et à faire ses devoirs. Pourtant, il le faut bien.
Dans cette pièce de théâtre, Marilaure Garcia Mahé évoque la souffrance scolaire des élèves et celle des enseignants, ainsi que le désarroi des parents.
Le rêve d'une vie fantasmagorique peut nous empêcher de profiter des simples plaisirs qui se présentent à nous. Nous avons la plupart du temps du mal à nous accommoder de ce que nous obtenons. Nous désirons ce qui n'est pas mais pourrait être. Or, le désir de la plénitude contrarie souvent le bien-être que la nature nous présage. Soyons pragmatiques. L'existence ne sera jamais exempte de toute épreuve, de déchirements, de douleur, de mélancolie. C'est ce qui nous donne du courage et, par la force des choses, intensifie nos moments d'allégresse et nos instants de gaieté. Pour que la satisfaction redouble en nous, elle doit résister aux assauts de l'extérieur. Apprendre à estimer la vie, c'est accepter qu'elle ne peut être parfaite à toute heure. Pour Jasp, il sera peut-être trop tard...
Lidia Bolkhovitinova propose une analyse comparative entre deux romans de la littérature russe, Le Maître et Marguerite de M. Boulgakov et La Mitrailleuse d'argile de V. Pélévine. Ce travail, basé sur un large corpus bibliographique, vise à comprendre ce qui rapproche et distingue ces textes appartenant à deux périodes distinctes du XXème siècle. Boulgakov s'inscrit dans la tradition du modernisme littéraire, tandis que Pélévine, en écrivain postmoderniste, se nourrit aussi bien des textes classiques que de la pensée critique. Contrairement à son aîné, Pélévine fait partie de la génération sacrifiée de la fin de l'ère soviétique, qui a subit l'influence du réalisme socialiste. Boulgakov, fervent opposant au stalinisme, représente pour lui un modèle littéraire absolu. L'étude révèle plusieurs proximités thématiques et narratives, comme la figure du héros écrivain au destin singulier dans lequel les écrivains se reflètent en partie. Ils prennent le parti de subvertir les règles établies de la fiction. La puissante force comique à l'oeuvre chez Boulgakov tourne davantage à l'absurde chez Pélévine. Appuyant son argumentation sur de nombreuses citations, l'auteur conclut en pointant les divergences concernant la question du salut final.
« Cette journée s'annonce rayonnante. Comme l'une des plus belles de ma vie. Thierry mon mari et Lucas notre fils partagent déjà mon bonheur [...] Deux ou trois palpations, une image à l'écran, un contre-examen approfondi... Soudain en un regard, un mot de la gynécologue, je sombre dans l'horreur, l'impensable, l'inimaginable. Mon existence bascule. Se vide. Ce 26 février sera le plus mauvais jour de ma vie. Mon ventre arrondi par neuf mois de grossesse est un tombeau. Loris est mort in utero [...]. »
Les humains sont cruels ? Alors que dire des trolls ? Kouyout est le fruit (plutôt raté) d'un humain et d'une trolle. Il vit depuis sa naissance avec sa mère et la tribu des trolls de Mont Ukh. Mais sa moitié humaine prend parfois le dessus et s'il ne fait pas plus attention, ses frères (ou plutôt ses demi-frères) de race vont finir par le bouffer. À son grand désespoir, il n'a d'autre choix que de fuir sa patrie et de trouver sa place parmi les hommes. Mais que trouvera-t-il au-delà de Mont Ukh ?
Pour éradiquer la folie de cinq sorciers qui plongeaient le monde dans le chaos, les druides et les paladins ont lié leur magie afin de diviser leur terre en cinq mondes et de supprimer les sorciers. Au fil des siècles, les mondes retrouveraient leur sérénité et pourraient être réunifiés. Mais avant de mourir, un des sorciers a enfermé son âme dans l'arbre d'un des mondes et sa perversité se déverse à nouveau. Rox doit trouver les portails reliant les mondes les uns aux autres, les franchir, retrouver l'arbre possédé et le purifier. L'inconvénient est qu'elle n'a que 15 ans et qu'elle connaît à peine son propre monde. Alors, pourquoi elle ? Elle est la seule à avoir dans les veines du sang de druides et du sang de paladins...
« Depuis la découverte du feu et de sa maîtrise, l'homo sapiens a évolué vers l'homo potens, l'homme puissant, celui qui est maître et possède toutes choses.
Sa lutte infernale pour obtenir le pouvoir est restée inerte depuis des siècles et les scientifiques ont préféré ignorer cette part d'évolution. Darwin était sans doute loin d'imaginer que son primate aurait tant d'oppositions intrinsèques. ».
Un narrateur hors du commun va nous transporter dans la vie de Jacques Simon, un homme d'affaires mondain participant à un jeu de téléréalité dont le but est de changer de profession contre la vie d'un de ses ouvriers dans l'intention de démontrer qu'il sait s'adapter et rattraper leur confiance.
Jacques Simon va alors rencontrer des personnes qui par leur regard sur le monde moderne vont à tout jamais changer sa propre vision du monde.
Cette histoire se passe à l'île de La Réunion.
Dans une paillote surplombant la rivière Saint-Étienne un « p'tit baba » pousse son premier cri. Cette naissance, cet hymne à la vie, surgit comme un doux rayon de soleil après la pluie. À cette frêle petite fille appelée Myrose, la matrone prédit un avenir merveilleux : « C'est l'enfant de la chance » affirme-t-elle.
Slimane a 15 ans, il vit dans la rue avec Marco, 31 ans, et Laura, 11 ans. Ensemble, ils forment une famille et survivent comme ils peuvent.
Cependant, le regard des gens, la solitude et la vie dans la rue obligent les trois SDF à changer, à partir...
C'est la vie de Slimane, il raconte l'histoire de Marco, qui doit cesser de subir l'injustice et l'ignorance du système sans rien faire.
Il finit par comprendre que la rue ne peut accueillir une fillette de 11 ans sourde et muette. Il va devoir lui trouver un lieu sûr, afin qu'elle construise son avenir, loin du froid et de la faim.
Slimane, quant à lui, n'a qu'un seul rêve : aller en Arménie pour tenter de retrouver Malik, son frère.
Dans cet ouvrage, trois axes sont à l'étude ; à savoir l'esthétique, le mythe et la philosophie de l'image chez Roland Barthes. Le corpus y est réduit, puisque centré sur les textes suivants : Sur Racine, L'obvie et l'obtus, L'Empire des signes et surtout La chambre claire. Ces deux derniers constituent, à côté de Fragments d'un discours amoureux, des textes de prédilection.
À travers cette analyse, l'auteur a voulu faire reconnaître ouvertement et solennellement l'impact de ce penseur sur notre parcours de formation intellectuelle, mais également partager quelques réflexions sur son oeuvre, qui, selon Moumen Smihi (disciple de Roland Barthes et cinéaste marocain très talentueux), est jusqu'à présent mal comprise, du moins au Maroc.
Cet ouvrage est ma vision, ma connaissance de Dieu. C’est au travers du cheminement de mes pensées qu'est né l'objectif de ce livre. Ces écrits ont été salutaires à mon âme, mon esprit, et mon corps. Ils se veulent également salutaires et bénéfiques pour toute personne qui pourra en discerner le message.
Christelle Mansour, relate, au travers de ce récit autobiographique, son enfermement progressif dans l'anorexie à l'âge de 13 ans. Rapidement, sa vie fut totalement transformée. Le plaisir, les rires, la spontanéité, laissèrent place à une vie planifiée, sans saveur, emplie uniquement de contraintes, frustrations et rituels. Tri des aliments, mensonges, hospitalisations multiples, sport à haute dose dont elle faisait usage comme d'une drogue, repli sur soi, séquelles physiques, grande dépression : inconsciemment, elle s'érigea peu à peu une prison et s'y cloîtra pendant plus de 12 ans. Elle passa des milliers d'heures à courir... Mais courir après quoi ? Un idéal de minceur éternellement insatisfait ? Le besoin de combler un vide ? La nécessité de disparaître petit à petit pour exister ? Quoi qu'il en soit, elle qui se sentait si forte, elle qui clamait « ne pas être malade », elle qui voulait tout contrôler, dut se résoudre à accepter l'évidence : l'anorexie la dépassait. Aussi, grâce à l'aide de thérapeutes, elle a su emprunter le chemin de la guérison, et livre aujourd'hui, dans Poutoune, le témoignage d'une jeune femme, victime, à une période fragile de son existence, des canons que nous impose la société.
Avec A contre-jour, Elodie Haslé nous invite en voyage à travers des pages aux paysages divers : rieurs, ensoleillés, accidentés ou harmonieux. Ainsi, pour les petits et grands des poésies légères, tendres et drôles, célébrant l'enfance, l'amour et les bonheurs au quotidien. Pour les grands en particulier, des textes graves non dénués pour autant d'optimisme, dans lesquels l'auteure évoque les épreuves de la vie.
Dans la cause "Mégafaûne" Lieu festif, Excessif, Dans la nuit, Dans le bruit, Dans l'alcool, En quartier Habité En zone Protégée.
Partir et Rester, Vouloir et Pouvoir, tels sont les thèmes abordés dans ce roman inspiré de faits réels survenus quelque part en Afrique.
Daniel, logisticien marseillais, farfelu au grand coeur, raconte l'histoire de Julien Bonnaux. Ce dernier est médecin responsable d'une mission qu'il coordonne de son mieux. Au fil des événements dramatiques qu'il vivra, il verra ses idéaux mis à mal.
L'humanitaire est ici abordé sous une autre facette. Rien n'y manque : action, émotion, intrigue amoureuse.