Crèches privées : l'enquête inédite.
Maltraitances, personnel épuisé, plaintes... Que se passe-t-il vraiment derrière la porte des crèches de nos enfants ? Tandis que les salariés, en détresse, désertent les établissements, la défiance des parents augmente. Pour répondre au manque de berceaux, 80 % des places ouvertes ces dernières années l'ont été dans des structures privées. Une poignée de groupes (Babilou, People and Baby...) détiennent la majorité des établissements et se sont lancés dans une course à la rentabilité. Dans cette enquête exclusive nourrie de plus de deux cents entretiens menés auprès de tous les acteurs de la petite enfance, les autrices lèvent le voile sur les failles et les dérives d'un secteur devenu un business fructueux, subventionné par l'argent public, en s'interrogeant sur le bien-être et la sécurité de nos enfants.
Le 3e livre de la collection-événement lancée en partenariat avec Society : un suicide, aucune empreinte, aucune identité.
Un suicide, aucune empreinte, aucune identité Quand, à l'été 2002, les policiers d'Eastlake, dans la banlieue de Cleveland, découvrent le cadavre d'un retraité dans sa salle de bain, l'affaire est entendue : Joseph Chandler s'est suicidé. Ses voisins et ex-collègues décrivent un ermite sans famille, mutique, aux habitudes étranges. Ni son appartement ni son pick-up ne portent la moindre empreinte. Qui prend soin d'effacer toutes ses traces au quotidien ?
Le dossier est sur le point d'être classé lorsqu'un détective privé missionné pour lui trouver des héritiers révèle l'impensable : le vieil homme vivait sous une fausse identité depuis 24 ans, le véritable Joseph Chandler était un petit garçon décédé d'un accident de voiture.
Une deuxième enquête s'ouvre alors. Qui était vraiment ce reclus à l'identité secrète ? Quel passé encombrant voulait-il cacher ?
Le journaliste Thibault Raisse est parti sur les traces de cet inconnu à la personnalité aussi fascinante qu'insaisissable. A la clé : peut-être la résolution de l'énigme criminelle la plus célèbre de l'histoire des États-Unis.
Elle est la femme la plus mystérieuse de Russie. Un secret d'État. Elle s'appelle Alina Kabaeva, elle a 40 ans. Adulée dans son pays, star mondiale de la gymnastique rythmique et sportive, elle a aujourd'hui quasiment disparu de la sphère publique pour vivre dans les coulisses du Kremlin, à l'ombre de Vladimir Poutine, maître de toutes les Russies. Là-bas, une règle, non écrite mais connue de tous, interdit d'évoquer cette histoire d'amour. C'est en 2001 qu'Alina Kabaeva est présentée à Vladimir Poutine. Une rencontre orchestrée par son entraîneure Irina Viner, mariée à l'oligarque Alicher Ousmanov. Comme leur protégée, ils sont originaires d'Ouzbékistan. Élue à la Douma après sa retraite sportive, désormais présidente du conseil d'administration du NMG - une puissante holding de média pro-pouvoir -, Alina Kabaeva incarne à la perfection les valeurs de la Russie de Poutine : culte de la réussite individuelle et exaltation de l'ascension sociale, quitte à mélanger les genres, les affaires, le sport, l'argent, la politique... Une enquête inédite sur la personnalité la plus secrète de Russie.
Dans Les 43 de Iguala, Sergio Gonzalez Rodriguez livre sa dernière enquête sur les causes et les processus qui rendent possible la violence au Mexique. Il s'attache à analyser est expliquer la disparition de 43 étudiants à Iguala, dans la nuit du 26 septembre 2014 dans l'un des États les plus pauvres du pays et l'un des plus touchés par le trafic de drogue. Selon la version officielle, les étudiants ont été enlevés , battu et tué par des membres d'un groupe criminel qui ont ensuite brûlés leurs corps afin d'effacer les preuves criminelles. Mais selon Sergio Gonzalez Rodriguez ce juvénicide qui a marqué le monde entier semble trouver sa source dans des causes plus profondes, liées à la fois à l'histoire politique de cet État du Guerrero et à une logique contre-insurrectionnelle.
Que s'est-il passé dans la chambre 406 de la clinique Santa María à Santiago du Chili le 23 septembre 1973 ? C'est là un mystère qui entoure la mort de l'un des plus grands écrivains d'Amérique du Sud : Pablo Neruda.
C'est là l'histoire d'une énigme jamais résolue... jusqu'à présent et qui secoue encore l'histoire politique de ce pays.
«Jamais la puissance publique n'aura à ce point démissionné devant des enjeux vitaux, pour aujourd'hui et pour demain.»On n'a sans doute jamais eu autant besoin de puissance publique, face aux bouleversements en cours et aux catastrophes qui s'annoncent. C'est la direction opposée qui est choisie : baisses d'impôts pour les privilégiés et les entreprises, poursuite insensée de la croissance infinie et laisser-faire irresponsable. Cinquante ans après le rapport Meadows (1972), alors que 60% du vivant a disparu et que des milliers de scientifiques appellent désormais à la désobéissance civile, il est vital de prendre les décisions auxquels les forcenés du profit s'opposent. Ils nous font perdre du temps. Et la vie.
Christophe Nobili est journaliste au Canard Enchaîné. Il y a trois ans, il découvre l'existence de la carte de presse d'Edith Vandendaele, salariée de la rédaction pendant vingt-cinq ans.
Problème : il ne l'a jamais vue. Il tique. Enquête. Et s'aperçoit que, de 1996 à 2020, le salaire mensuel d'Edith a oscillé entre 4 et 6 000 euros brut. Augmentée chaque année, bénéficiaire de primes, la dame a touché, en tout, un peu plus de 1,5 million d'euros. Avec les charges, ce montant s'élève à 3 millions pour l'entreprise.
Cette affaire ressemble un peu trop à l'emploi fictif de Pénélope Fillon, que Christophe Nobili avait lui-même révélé en 2017... Elle le plonge dans une cruelle désillusion.
Le récit d'un dilemme, d'une investigation secrète et d'un séisme qui secoue un temple de la presse française.
Le livre adapté de l'émission à succès de France 2 Au bout de l'enquête, présentée par Marie Drucker et Alain Bauer, qui analyse des cold case.
Pourquoi Sylvain Alloard, militaire respecté de tous, a-t-il été abattu froidement sur un parking à Marseille ?
Qui a tué Sylvie Bâton, jeune étudiante brillante, dans son petit village tranquille de Bourgogne ?
Comment le meurtrier de Caroline Dickinson a-t-il pu s'introduire dans la chambre de son auberge de jeunesse alors que quatre camarades dormaient avec elle ?
Au bout de l'enquête revient sur vingt cold case ou affaires criminelles qui ont bouleversé l'opinion. Quelles que soient leurs issues, elles ont suscité des années d'enquête, de rebondissements, d'espoir et de déception pour les familles des victimes et pour les enquêteurs. De la découverte du crime à sa résolution, ce livre nous en fait le récit et apporte pour chaque affaire un éclairage criminologique inédit présenté par Alain Bauer.
Plus que de simples faits divers, ces histoires racontent une époque, une région, un contexte historique et social, et retracent l'évolution des méthodes d'enquête des services de police et de gendarmerie.
Violence et corruption à Baltimore : la suite de The Wire.
En 2008, Justin Fenton devient le reporter chargé des affaires criminelles au Baltimore Sun. Un poste convoité où, par le passé, s'est illustré David Simon, avant qu'il devienne le célèbre showrunner de la série The Wire. Baltimore est alors toujours la ville au taux de criminalité le plus élevé des États-Unis. Mais une unité spéciale d'agents en civil est en train de nettoyer les rues avec un seul mot d'ordre : tolérance zéro.
En 2017, la nouvelle tombe : sept des principaux officiers de l'unité spéciale sont arrêtés pour corruption et racket en bande organisée. C'est un véritable système d'intimidation, de faux témoignages, de collusion avec le monde du crime qui est mis au jour. En dépit de sa fréquentation assidue de la police, de la justice et des criminels, Justin Fenton tombe des nues. Il n'avait rien vu venir.
Document humain et criminel d'une rare intensité, c'est cette incroyable affaire de corruption que Justin Fenton raconte dans ce récit qui se lit comme un roman.
Pour les nazis, la «culture» était à l'origine la simple transcription de la nature : on révérait les arbres et les cours d'eau, on s'accouplait, se nourrissait et se battait comme tous les autres animaux, on défendait sa horde et elle seule. La dénaturation est intervenue quand les Sémites se sont installés en Grèce, quand l'évangélisation a introduit le judéo-christianisme, puis quand la Révolution française a parachevé ces constructions idéologiques absurdes que sont l'égalité, la compassion ou l'abstraction du droit. Pour sauver la race nordique-germanique, il fallait opérer une «révolution culturelle», retrouver le mode d'être des Anciens et faire à nouveau coïncider culture et nature. C'est en refondant ainsi le droit et la morale que l'homme germanique a cru pouvoir agir conformément à ce que commandait sa survie. Grâce à la révision générale des normes et à la réécriture de l'histoire de l'Occident, il devenait licite, moral et prescrit de frapper et de tuer.
La technocratie joue un rôle déterminant en France : elle constitue le vivier de ses élites dirigeantes, tant économiques que politiques. Cet ouvrage propose une plongée dans ce monde fascinant, dont il retrace l'histoire et dénonce les dérives. La France a la spécificité de former par la haute fonction publique ses « élites » dirigeantes, issues de Polytechnique ou de l'ÉNA, pour les transmuer en patrons ou cadres exécutifs de grands groupes, ou en hommes ou femmes politiques de haut rang. La moitié des dirigeants du CAC 40, trois présidents de la République sur quatre depuis 30 ans sont issus des « grands corps » (Inspection des finances, Conseil d'État, Corps des mines ou des ponts). Lieux de production de la technocratie française et de son idéologie, ces institutions bicentenaires demeurent peu connues du public. C'est une analyse engagée qu'en propose ici Alexandre Moatti, observateur interne à l'un d'eux. Une analyse à la fois historique (depuis la Révolution française) et systémique : relisant les 30 dernières années au prisme de leur action, il montre leur intrication ontologique avec le néo-libéralisme.
De Raoni à Snowden, 40 ans d'affaires d'un grand avocat international Comment devient-on un avocat engagé contre des dictateurs, des multinationales puissantes, des mafias d'État, tout en défendant des clients parfois poursuivis pour les pires crimes ?
William Bourdon raconte la naissance de sa vocation, ses modèles spirituels, l'équilibre à trouver entre les vérités multiples d'un procès.
Après avoir été secrétaire général de la Fédération internationale des droits de l'homme, il crée l'association Sherpa, à l'origine de poursuites contre Total en Birmanie ainsi que de la notion de biens mal acquis qui a permis d'incriminer des dictateurs africains. Il obtient, pour la première fois en France, la mise en examen d'un suspect du génocide rwandais, l'abbé Wenceslas Munyeshyaka. Il devient pionnier dans la défense de lanceurs d'alerte comme Edward Snowden, Nicolas Forissier ou Rui Pinto. Il est encore l'avocat d'Alexeï Navalny ou des indigènes Raoni et Surui contre Bolsonaro devant la Cour pénale internationale.
Au fil de ses combats, il rencontre des militants anonymes à travers le monde, des justes qui se font parfois assassiner.
Cet édifiant récit interroge la notion d'engagement, le fonctionnement obscur du monde et les contradictions de la nature humaine. Il apparaît surtout comme une formidable et stimulante leçon de courage.
Patrick Radden Keefe révèle les secrets explosifs des Sackler, richissime famille américaine, responsable d'un des pires scandales sanitaires de l'histoire, et dresse au passage un tableau saisissant de la collusion entre capitalisme sauvage, lobbyisme effréné et système de santé défaillant.
Jusqu'au bout, ils auront menti. Jusqu'au dernier dollar, fait fortune des addictions, des vies brisées, des morts violentes...
De la crise des opioïdes aux États-Unis, scandale sanitaire comme il n'en existe qu'un dans un siècle, on a beaucoup parlé. Des racines du scandale, beaucoup moins. A l'origine, pourtant, était une famille - les Sackler. Trois frères d'une famille juive de Brooklyn, tout à la fois médecins et rois du marketing, philanthropes, mécènes... et assassins.
Quand le capitalisme le plus rapace rencontre le business de la santé : enquête sur un empire au-dessus de tout soupçon...
Une enquête qui se lit comme un polar.
ELLE Une fresque passionnante.
Philosophie magazine Une démonstration implacable sur les origines de la crise des opioïdes aux États-Unis M le magazine du Monde Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marie-Claire Clévy
« Zéro point de fixation. » De Calais à Dunkerque, c'est l'expression employée par les autorités pour définir la politique de la France en matière d'immigration à la frontière franco-britannique. Caractérisée par des battues ou chasses à l'homme organisées toutes les 48 heures, cette stratégie de gestion policière des campements d'exilés a pour but de dissuader les personnes de s'installer et de se regrouper. Une manière de gouverner par l'image, l'exemple et la violence.
Louis Witter a passé dix-huit mois sur place. Dix-huit mois à enquêter sur cette stratégie de politique intérieure lancée par Bernard Cazeneuve et renforcée par Emmanuel Macron et son ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. Dans ce livre, à mi-chemin entre l'enquête et l'essai, il montre comment la politique locale, le droit, les politiques institutionnelles et les pratiques policières oeuvrent de concert pour légitimer toujours plus de violences envers les personnes étrangères.
Un phénomène qui témoigne d'un rapport particulier, inquiétant et renouvelé que la police et l'État entretiennent avec les étrangers et la citoyenneté.
Louis Witter est journaliste. La Battue est son première livre.
La plus grande escroquerie de toute l'histoire du vin L'histoire est digne d'un scénario hollywoodien : une arnaque de plusieurs dizaines de millions de dollars impliquant les meilleurs grands crus du monde, des experts et riches collectionneurs trompés, un escroc au-dessus de tout soupçon et un héros de fortune qui, lancé à ses trousses de Los Angeles à Kuala Lumpur, se retrouve au coeur d'une enquête du FBI.
Tout commence sur les coteaux bourguignons quand Laurent Ponsot, producteur de vins d'exception, apprend qu'à New York on propose aux enchères, pour plus d'un demi-million de dollars, des bouteilles de son domaine dont le millésime n'existe pas. À la manoeuvre, un soi-disant dégustateur de génie, un certain Dr Conti...
Pour le principe et au nom d'un savoir-faire millénaire, Laurent Ponsot va quitter les paisibles vignobles de Bourgogne et entamer une odyssée au long cours sur les eaux troubles de la contrefaçon.
Retour sur les plus grandes affaires criminelles de ces cinquante dernières années. Jonathan Daval - La tuerie de Chevaline - Toni Musulin - L'affaire Suzanne Viguier - L'affaire Sophie Toscan du Plantier - Kevin Chavatte à Mourmelon - Dupont de Ligonnès - L'affaire Romand - Le docteur Godard - Le gang des barbares - Maxime Brunerie - L'Inconnue de l'A10 - L'affaire Grégory - L'affaire Angélique - L'affaire Fiona - Alexandre Junca - Agnès Marin - Michel Fourniret - Les meurtres de la gare de Perpignan - L'anesthésiste de Besançon - L'affaire Sophie Le Tan - Nordahl Lelandais - Le tueur de l'Essonne - Émile Louis - Marc Dutroux - Guy George...
Pierre Madelin est philosophe et traducteur spécialisé dans les?« humanités environnementales ». Chez Écosociété, il est l'auteur d' Après le capitalisme. Essai d'écologie politique (2017) et de Faut-il en finir avec la civilisation? Primitivisme et effondrement (2021).
Elles sont pilote d'hélicoptère, parachutiste, démineuse, commandant de base ou officier spécialiste des renseignements...Mais qui sont-elles vraiment ? Comment sont-elles arrivées là ? Comment se sont-elles imposées dans un monde d'hommes ? Dorothée Olliéric, grand reporter, est allée à la rencontre de ces femmes qui se livrent ici sur leur vocation et la raison de leur engagement.
Leur parcours est souvent bluffant, elles n'ont peur de rien et risquent leur vie pour la France. Encore trop peu nombreuses aux premières loges, elles ont toutefois gagné leur place. Célia raconte la traque d'une planque de djihadistes au Mali et la perte d'un de ses coéquipiers Élodie, ses difficultés à revenir à la « vraie » vie au retour d'Afghanistan;Léa nous bouleverse en nous confiant la perte de son compagnon lors d'une attaque terroriste au Burkina Faso;Juliette, pilote de chasse en Opex au Niger, nous fascine par sa détermination.
Leur parole franche, libre, témoigne de leur expérience exaltante sur le terrain, sans oublier leur vie de femmes, la difficulté de laisser un compagnon ou des enfants, mais aussi du syndrome post-traumatique lorsqu'un drame surgit. Ces discrètes héroïnes mènent, tête haute, aux côtés de leurs frères d'armes, des combats pour leur pays et nous font vibrer dans ce livre plein de courage et de passion.
Peu de stratèges apparaissent aussi clivants que Foch : Liddell Hart, Marc Bloch et Raymond Aron ont vu en lui un dangereux illuminé dont les idées néo-napoléoniennes ont eu d'effroyables conséquences en 1914-1918 ; à l'inverse, les armées françaises le considèrent toujours comme une référence centrale.
Seul un retour aux textes incriminés permet de trancher le débat. Encore fallait-il rendre ces derniers accessibles au lectorat d'aujourd'hui : c'est ce que fait le présent volume, qui regroupe les deux principaux livres de Foch - Des principes de la guerre (1903) et De la conduite de la guerre (1904) - dans une édition allégée de certains développements trop techniques, accompagnée d'un appareil critique éclairant et illustrée de nombreuses cartes.
En lisant ces pages, on verra combien la pensée de Foch dépasse le contexte de sa rédaction. Nourrie par une vaste culture générale, elle s'attache en effet à dégager les principes pérennes de la stratégie. Le vainqueur de 1918 demeure en outre un professeur d'énergie à nul autre pareil, dont se sont notamment inspirés de Gaulle, Churchill, Eisenhower et Patton. Au moment où la guerre d'Ukraine marque le retour aux combats de haute intensité, sa redécouverte s'impose.
Cinquante ans après les crimes, l'affaire du Zodiac élucidée.
Dans la Californie des années 1970, un mystérieux tueur sème la panique. Il revendique une série de meurtres par des missives provocatrices adressées à la presse, parfois accompagnées de messages codés. Au cours des cinquante dernières années, un seul de ces cryptogrammes a été déchiffré et l'identité du tueur n'a jamais été découverte.
Hiver 2020, Paris. Fayçal Ziraoui, jeune polytechnicien, entend parler du Zodiac et se prend de passion pour l'affaire. En l'espace de quelques jours, il va décrypter les derniers messages. Et découvrir enfin l'identité du tueur qui a terrifié et fasciné l'Amérique.
Dans ce texte brillamment ficelé entre les seventies d'une Amérique sous tension et une enquête au présent au coeur d'un esprit génial, ce page-turner plonge le lecteur dans les tréfonds d'un des plus grands cold cases américains.
Édition mise à jour
Dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, Delphine Jubillar, infirmière et mère de famille de 33 ans, disparaît sans laisser de traces. Elle vivait sur les hauteurs d'Albi, à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn. À 4 h 10, son mari appelle la gendarmerie : « Je ne sais pas où est passée ma femme. » Rien ne laisse à penser qu'il s'agisse d'un départ volontaire ou d'un suicide. Dès les premières heures de la disparition, les autorités judiciaires prennent l'affaire très au sérieux. Malgré l'absence d'éléments matériels objectifs, les enquêteurs glanent peu à peu une somme d'indices qui convergent vers un seul homme : le mari de la disparue.Cédric Jubillar n'a jamais parlé à aucun journaliste sauf un : Ronan Folgoas. Philippe Vandel, Europe 1.Un passionnant livre enquête. Captivant de précision. Cécile Deffontaines, L'Obs.Édition actualisée.
Replongeant dans les archives criminelles, la célèbre youtubeuse du crime Sonya Lwu raconte par le biais de ses affaires sordides l'histoire du Cecil Hotel, établissement à l'aura maléfique et fascinante.
Situé en plein coeur de Los Angeles, le Cecil Hotel devient vite un repaire d'alcooliques, de junkies, de prostituées et de marginaux en tous genres.
Théâtre d'une multitude de suicides, overdoses ou décès inexpliqués, l'hôtel est aussi lié à de célèbres affaires criminelles jusqu'en 2013 où le corps de l'étudiante canadienne Elisa Lam est retrouvé dans un des réservoirs d'eau installés sur le toit.
Le Cecil Hotel est-il maudit ? Hanté ? Ce qui est certain, c'est que si un jour vous passez devant cet immense bâtiment de 14 étages et quelques 700 chambres, vous hésiterez à en pousser la porte...