«L'Économie politique, considérée comme une branche des connaissances du législateur et de l'homme d'État, se propose deux objets distincts : le premier, de procurer au peuple un revenu ou une subsistance abondante, ou, pour mieux dire, de le mettre en état de se procurer lui-même ce revenu et cette subsistance abondante ; - le second, de fournir à l'État ou à la communauté un revenu suffisant pour le service public ; elle se propose d'enrichir à la fois le peuple et le souverain.»Dans ce texte fondateur de l'économie politique moderne, Adam Smith analyse, à partir des exemples de l'Angleterre et des Pays-Bas, les origines de la prospérité d'un État. Élaborant une théorie sur la division du travail, la concurrence sur le marché ou encore l'idée d'un intérêt individuel convergeant vers l'intérêt commun, La Richesse des nations (1776) pose les bases du libéralisme économique.
«L'Économie politique, considérée comme une branche des connaissances du législateur et de l'homme d'État, se propose deux objets distincts : le premier, de procurer au peuple un revenu ou une subsistance abondante, ou, pour mieux dire, de le mettre en état de se procurer lui-même ce revenu et cette subsistance abondante ; - le second, de fournir à l'État ou à la communauté un revenu suffisant pour le service public ; elle se propose d'enrichir à la fois le peuple et le souverain.»Dans ce texte fondateur de l'économie politique moderne, Adam Smith analyse, à partir des exemples de l'Angleterre et des Pays-Bas, les origines de la prospérité d'un État. Élaborant une théorie sur la division du travail, la concurrence sur le marché ou encore l'idée d'un intérêt individuel convergeant vers l'intérêt commun, La Richesse des nations (1776) pose les bases du libéralisme économique.
Combattre l'utopie libérale et la société de classes renfoncée qu'elle engendre inévitablement passe aujourd'hui par une rupture radicale avec l'imaginaire intellectuel de la gauche.
Certes. l'idée d'une telle rupture pose à beaucoup de graves problèmes psychologiques. car la gauche, depuis le XIXe siècle, a surtout fonctionné comme une religion de remplacement (la religion du "Progrès") ; et toutes les religions out pour fonction première de conférer à leurs fidèles une identité, et de leur garantir la paix avec eux-mêmes. J'imagine même sans difficulté que de nombreux lecteurs tiendront cette manière d'opposer radicalement le projet philosophique du socialisme originel et les différents programmes de la gauche et de l'extrême-gauche existantes pour un paradoxe inutile, voire une provocation aberrante et dangereuse de nature à faire le jeu de tous les ennemis du genre humain.
J'estime, au contraire, que cette manière de voir est la seule qui donne un sens logique au cycle d'échecs historiques à répétition, qui a marqué le siècle écoulé et dont la compréhension demeure obscure pour beaucoup, dans l'étrange situation qui est aujourd'hui la nôtre. De toute façon, c'est à peu près la seule possibilité non explorée qui nous reste, si nous voulons réellement aider l'humanité à sortir, pendant qu'il en est encore temps, de l'impasse Adam Smith.
Le ministre des Finances du premier gouvernement Tsipras s'adresse à sa fille. En partant de sa culture et de ses références (jeux vidéo, réseaux sociaux, films de science-fiction, etc.), il lui montre à quel point l'économie fait partie intégrante de son quotidien et lui explique comment s'est constitué le monde moderne depuis la révolution industrielle
Alors que les pays occidentaux font face à une crise économique et sociale d'une extrême gravité, responsables politiques et experts attendent le salut du seul retour de la croissance. Pourtant, si celle-ci revenait, elle contribuerait sûrement à aggraver la menace écologique à laquelle le monde est confronté. Comment sortir de cette contradiction ? En comprenant pourquoi et comment nous sommes devenus des « sociétés fondées sur la croissance ». En tirant toutes les conséquences du caractère anachronique et pervers des indicateurs - tel le PIB - qui sont devenus nos fétiches. En mettant au coeur de l'action publique ce qui compte pour inscrire nos sociétés dans la durée.
La reconversion écologique est le seul moyen de maintenir des conditions de vie authentiquement humaines sur Terre, mais elle suppose de rompre avec une partie de nos croyances, liées à l'avènement de la modernité - le caractère intrinsèquement bon de la maximisation de la production, le progrès confondu avec l'augmentation des quantités, la passion de l'enrichissement personnel... Elle exige aussi de mettre un terme à la prétention de l'économie à décrire seule le monde que nous voulons.
Création Studio Flammarion © Flammarion, 2013, pour l'édition originale © Flammarion, 2014, pour la présente édition en coll. « Champs »
«L'Économie politique, considérée comme une branche des connaissances du législateur et de l'homme d'État, se propose deux objets distincts : le premier, de procurer au peuple un revenu ou une substance abondante, ou, pour mieux dire, de le mettre en état de se procurer lui-même ce revenu et cette subsistance abondante ; - le second, de fournir à l'État ou à la communauté un revenu suffisant pour le service public : elle se propose d'enrichir à la fois le peuple et le souverain.» Dans ce texte fondateur de l'économie politique moderne, Adam Smith analyse, à partir des exemples de l'Angleterre et des Pays-Bas, les origines de la prospérité d'un État. Élaborant une théorie sur la division du travail, la concurrence sur le marché ou encore l'idée d'un intérêt individuel convergeant vers l'intérêt commun, La Richesse des nations (1776) pose les bases du libéralisme économique.
Peut-on encore croire, après la crise de 2008, que les acteurs économiques sont rationnels et les marchés capables de s'autoréguler ? Keynes, avec la théorie des esprits animaux, avait démontré le contraire : l'économie réelle est bizarre, incertaine, irrégulière.Les esprits animaux, ce sont les facteurs psychologiques qui influencent notre économie, sa part d'incohérence et d'instabilité naturelles - et souhaitables ! Car si l'incertitude qu'elle génère, à certaines périodes, nous paralyse, elle se révèle, à d'autres, stimulante et féconde.Les auteurs expliquent comment ces comportements irrationnels font et défont nos économies. Comment adviennent les crises ? Quel est le pouvoir réel des banques centrales ? Le chômage est-il inéluctable ? Revisitant les grands épisodes de l'histoire économique, cet ouvrage donne la clé d'une autre vision de l'économie - plus réelle, et plus humaine.
«L'autorité que donne la fortune est très grande, même dans une société civilisée et opulente. De toutes les périodes de la société, compatibles avec quelque notable inégalité de fortune, il n'en est aucune dans laquelle on ne se soit constamment plaint de ce que cette sorte d'autorité l'emportait sur celle de l'âge ou du mérite personnel...» Adam Smith Classiques de l'économie politique
"L'objet de cet Essai est principalement d'examiner les effets d'une grande cause, intimement liée à la nature humaine, qui a agi constamment et puissamment dès l'origine des sociétés, et qui cependant a peu fixé l'attention de ceux qui se sont occupés du sujet auquel elle appartient (...). La cause que j'ai en vue est la tendance constante qui se manifeste dans tous les êtres vivants à accroître leur espèce, plus que ne le comporte la quantité de nourriture qui est à leur portée".
Ainsi commence le célèbre ouvrage de Malthus, objet de critiques, d'incompréhension et d'éloges sans nombre. Il faut en redécouvrir l'actualité. Au moment où l'homme met en péril les conditions de sa propre survie, Malthus rappelle la nécessité d'une pensée des limites, d'une interrogation de la finitude face à l'extension du royaume de la marchandise et à l'excès technoscientifique de cette fin de millénaire.
Surpris par la manière dont les prix se déterminent dans la pêche artisanale en Bretagne et en Afrique, Paul Jorion voulut en avoir le coeur net : le prix se fixe-t-il bien, comme on le prétend, par la rencontre de l'offre et de la demande ? Ce qu'il découvrit est surprenant : le prix se détermine selon le rapport de force existant entre le groupe des vendeurs et celui des acheteurs, qui se définit à son tour en fonction de la rareté de chacun de ceux-ci à l'intérieur du groupe auquel il appartient.
Ainsi, la froide logique de l'offre et de la demande s'efface derrière les rapports humains. Et la validité de cette théorie ne se restreint pas aux marchés traditionnels : sa logique se retrouve intacte sur les marchés financiers contemporains. Dans cet ouvrage éclairant, Paul Jorion expose comment s'est constituée au fil des années la boîte à outils qui lui a permis d'être, en 2007, l'un des tout premiers à annoncer la crise des subprimes et à l'analyser.
« Pour sauver l'emploi, il faut sauver l'industrie », « C'est à l'État de nous sortir du marasme et de préserver la croissance », « Les marchés, c'est la dictature du court terme », « La solution à la crise, c'est plus d'Europe ! » - voilà autant de clichés coriaces qui pourrissent le débat public en France, entretiennent la morosité et finissent par couler le pays.
Des évidences postiches et des mythes néfastes, qu'Augustin Landier et David Thesmar décryptent ici d'une plume acérée, dénonçant du même coup les lobbies qui les entretiennent et abordant au passage nombre de questions très concrètes. Pourquoi avons-nous peur de la robotisation ? À quoi doit servir un ingénieur à l'heure du numérique ? Pourquoi nos PME peinent-elles à trouver de l'argent ?...
Il est temps d'entrer dans l'ère postindustrielle, d'aller vers une société de services et une économie dématérialisée. Pour ce faire, finissons-en d'abord avec un capitalisme de subvention, empoisonné par la nostalgie des Trente Glorieuses. Telle est la cure de désintoxication à laquelle invite ce livre salutaire.
Édition augmentée 2014 Création Studio Flammarion © Flammarion, 2013, pour l'édition originale © Flammarion, 2014, pour la présente édition en coll. « Champs »
Pour l'auteur (1767-1832), l'économie politique est un savoir pratique qui permet à la société industrielle de surmonter ses crises par une meilleure connaissance des lois de la production, de la distribution et de la consommation. Dans ce système de la répartition fondée sur un ensemble de marchés, l'entrepreneur a une place prépondérante.
« Comment dépenser moins, acheter mieux ? Comment gérer un budget, revendre, louer, emprunter, acheter d'occasion et à quel moment ?
Autant de questions auxquelles « Savoir économiser » répond à partir d'exemples concrets, de solutions, de stratégies et de conseils pratiques.
Une lecture enrichissante !
Au moment où le pouvoir d'achat est au centre de nos préoccupations, où gaspillage rime avec pollution, où certains se tournent par choix vers une vie frugale, cette véritable « bible » apporte un éclairage nouveau sur la gestion du ménage.
Vous apprendrez comment économiser des centaines d'euros sur vos dépenses au quotidien : de la nourriture à la voiture en passant par les vêtements ou le nettoyage ; vous saurez décoder ce qui se cache derrière un « 50% de produits en plus »,, un « produit 100% remboursé », un « comparateur de prix ». bref décrypter les bonnes affaires au milieu d'un océan d'arnaques.
Le 1er « régime » antidécouvert Avec le « régime D » à suivre sur dix semaines, cet ouvrage présente un véritable plan d'attaque antidécouvert. Semaine après semaine, vous apprendrez à identifier vos erreurs et à les corriger à travers des consignes précises, des étapes et des objectifs bien définis.
Ainsi vous dompterez votre budget et assainirez vos finances une fois pour toutes !
En dix semaines, les résultats seront là !
« Savoir économiser », votre meilleur investissement de l'année. »
« La richesse des nations n'est plus liée à la révolution libérale », écrit Michel Guénaire, parce que l'héritage du libéralisme a été trompé, « comme la pudeur et la lucidité des classiques ont été trompées par l'inconscience et la vanité des nouveaux marchands ». Depuis la chute du mur de Berlin, la révolution libérale a transformé le cours de l'Histoire. La crise financière de l'automne 2008 en a révélé les excès et la fragilité. Il faut donc analyser les origines historiques du libéralisme pour mesurer l'écart qui s'est creusé entre la première morale du libéralisme et son actuelle pratique dévastatrice. Cette crise est une crise de civilisation. Il faut retrouver le rôle de l'État, la richesse de l'entreprise et l'éducation de l'homme. Sans cela la liberté n'a plus le même sens.
Avec la fin du «siècle de l'automobile» et de l'«ère du pétrole», ce sont aussi la télévision, les industries de programme et les industries culturelles en général qui sont entraînées dans une crise profonde, subissant la désaffection d'une partie croissa
Le guide pour dépenser mieux et gagner plus à une époque où la baisse du pouvoir d'achat angoisse tous les Français, sachez qu'elle n'a rien d'inexorable. Ce livre informé, intelligent et concret va vous le prouver. Il inverse même la tendance : pas en invitant chacun à se restreindre - quelle frustration-, mais en multipliant les conseils permettant de vivre moins cher et mieux, de doper ses revenus et son compte en banque. Un miracle ? Non, une méthode complète, réaliste et efficace. Car en découvrant avec précision les astuces et les sites Internet qui facilitent la vie, aident à réaliser les meilleures affaires en un minimum de temps, font économiser plusieurs milliers d'euros par an, tous les aspects de notre quotidien y gagnent : alimentation, habillement, automobile, voyages, loisirs... Vous pourrez enfin vous faire plaisir avec votre argent. Mieux, ce guide donne les clefs apprenant à mieux gérer ses finances, à investir judicieusement, à s'orienter vers les bons filons afin d'arrondir ses fins de mois. N'est-il pas plus agréable de booster son pouvoir d'achat que de passer son temps à se serrer la ceinture ?
La crise ? Quelle crise ? Pendant que les uns boivent la tasse, les autres trinquent à coups de premiers crus classés.
Alors que les turbulences des marchés financiers font vaciller l'économie mondiale, les milliardaires n'ont jamais été aussi nombreux. Certains disposent de fortunes supérieures au PIB de bien des Etats. De l'art contemporain aux chevaux de course, les ultra-riches continuent de s'amuser avec de coûteux joujoux. Sur les marinas, dans les foires d'art internationales, dans les vignobles en France et à l'étranger, les écuries, les champs de course, les châteaux en Sologne et les mas en Provence, l'auteur a mené l'enquête pour comprendre comment et pourquoi ils dépensent leur argent.
Par-delà les clichés, la réalité est souvent plus complexe. A travers leurs passions, les grandes fortunes se font la guerre jusque dans leur vie privée. Achats de propriétés viticoles pour des raisons fiscales, acquisition d'art pour échapper à l'ISF et passer à la postérité, châteaux entretenus grâce à des niches fiscales... Ces " danseuses " sont-elles toujours sincères ? Quand les grandes fortunes ont déjà tout, à quoi rêvent-elles encore ? Quel est le revers de la médaille de ce monde si fermé ? Bienvenue chez les ultra-riches, où les loisirs ne sont jamais désintéressés et les dépenses toujours des investissements optimisés par des armadas de conseillers fiscaux.
A 37 ans, Tristan Lecomte est l'une des figures du commerce équitable en France.
Cet ancien de HEC, qui a fait ses armes chez L'Oréal, a fondé la société Alter Eco parce qu'il cherchait à donner un sens à son travail. Ce sens, il l'a trouvé dans cette entreprise atypique, grâce à laquelle, depuis presque quinze ans, il concilie exigences du business et volonté de changer le monde. Mais cette aventure n'a pas été un long fleuve tranquille ! Echecs, problèmes humains, doutes... Loin des success stories trop lisses pour être honnêtes, Tristan Lecomte raconte les orages que l'équipe d'Alter Eco a dû traverser pour poursuivre leur fabuleux destin.
Surtout, il dépeint combien, dans l'épreuve, il a pu s'appuyer sur l'exemple des hommes et des femmes exceptionnels qu'il a eu la chance de croiser : les paysans du Sud. Combien la simplicité, la bienveillance et la sagesse de ces humains lumineux lui ont permis de devenir un peu, juste un peu, meilleur.
«Comme beaucoup de personnes de ma génération, Coca-Cola avait nourri
mes rêves d'Amérique. Mais mon enquête venait de me prouver combien la
frontière entre le désir et le rejet pouvait être mince. Arrivé à son terme, je
n'avais qu'une certitude : il était impossible de faire l'impasse sur la vérité.»
Après l'affaire Dominici, l'assassinat de JFK et le Bush Land, William
Reymond révèle les arcanes de la Compagnie la plus célèbre de la planète.
Des véritables origines de la boisson à la présence de cocaïne dans sa
composition initiale, des raisons réelles du fiasco du New Coke aux
enjeux politiques du rachat raté d'Orangina, des difficultés à s'imposer
en France aux multiples coups de génie ayant émaillé son histoire, de
la guerre des colas aux stratégies de conquête mondiale, Coca-Cola,
l'enquête interdite dévoile les coulisses d'un véritable empire.
Pour la première fois aussi, au terme d'une investigation aussi passionnante
qu'effrayante explorant les ombres de la Seconde Guerre mondiale,
William Reymond découvre le plus grand secret de la Compagnie. Une
révélation qui, preuves à l'appui, met la légende à l'épreuve.
nombre de patrons français profèrent de grandes leçons d'économie et d'humanisme, mais se gardent bien de les appliquer.
ils exigent que les salariés se serrent la ceinture, ils réduisent la masse salariale, et pendant ce temps-là ils se gavent. l'un est renvoyé d'une entreprise avec une merveilleuse retraite, l'autre tente d'arracher une prime nullement justifiée, une troisième " force " sur les stock-options. l'opinion publique s'offusque de l'indécence. le citoyen ne comprend pas. a travers une galerie de portraits de patrons qui ont abusé un peu, beaucoup ou pas du tout, voici une enquête poussée dans la jungle des gros salaires.
les goinfres est nourri de révélations puisées aux meilleures sources. l'auteur n'a rien d'un journaliste connivent, et ses descriptions n'enjolivent pas les personnages. le livre, une sorte de toujours plus ! sur le secteur privé, démontre que les " bonnes raisons " invoquées pour justifier les gros salaires relèvent souvent de l'escroquerie intellectuelle et que les moyens de lutter contre les abus sont pour la plupart hypocrites.
les goinfres relève aussi de l'essai sur ce nouveau culte de l'inégalité et du cynisme du capitalisme moderne.
La face cachée d'Air France Air France sort d'une décennie de croissance exceptionnelle. L'entreprise publique, isolée sur la scène internationale à la fin des années 1990, est aujourd'hui un groupe privé d'envergure planétaire qui fait la course en tête. Pourtant, la belle mécanique s'est grippée en 2009, véritable annus horribilis. La disparition du vol AF 447 a fait descendre la société dans les classements de sécurité. Elle a même aujourd'hui les taux d'accidents d'une compagnie de seconde zone, très loin de ses concurrentes directes. La crise économique l'a en outre affaiblie, elle qui doit déjà faire face au low cost et au TGV. Une situation d'autant plus difficile que, pour affronter ces turbulences inédites, Air France est pilotée par une direction en fin de cycle et ne peut plus compter sur Jean-Cyril Spinetta, le patron charismatique qui lui a indiqué la voie du succès durant dix ans. La compagnie doit dès lors conduire une véritable révolution culturelle pour éviter un nouvel accident dont elle ne se relèverait pas. Mais aussi répondre à des questions douloureuses de coûts et d'effectifs qui n'ont pas été traitées durant les années d'opulence, et remettre en question un modèle social qui l'a conduite à des excès. Le chantier qui l'attend est immense pour rester un leader mondial du ciel. Ce livre va vous le démontrer.